Tuer n’est pas forcément mal. Dans ce monde, beaucoup méritent de mourir. Mais celui qui tue doit se préparer à être tué à son tour. C’est le principe de cause à effet. Que ce monde soit mauvais ou pas, ceux qui restent ont la plus forte volonté de vivre !
© Gokû |
Nom : Sanzô
Prénom : Genjô
Surnom(s) : vous pouvez toujours essayer de lui en donner un, mais pas sûr que vous en réchappiez vivant.
Âge : 23 ans
Groupe : Humain impatient et autoritaire
Sexe : masculin
Orientation sexuelle : bisexuel
Métier : Sanzô comme le nom l’indique
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*] Comment-peut on vous voir et vous sentir ?Psychologie : Une seule ligne suffirait pour décrire la psychologie de Sanzô, puisque ce moine
dépravé n’a vraiment rien d’un moine justement (sauf le mot dépravé évidemment). Il est caractériel, impatient, violent, fumeur, renfermé et avec parfois des manières de petits vieux (évitez de lui faire la remarque). Il a tendance à vite utiliser son baffeur, voire même son arme quand on le pousse à bout, et c’est généralement Gokû qui en fait les frais.
Sanzô n’aime pas grand-chose, sauf la mayonnaise, se coucher tôt, fumer et lire tranquillement son journal. Malheureusement pour lui il a souvent trois marioles dans ses pattes qui empêchent le mot « tranquillité » d’exister. Marioles à cause de qui il a augmenté sa consommation de cigarette, et qui ont le don de lui mettre les nerfs à fleur de peau (notamment Gojyo et l’abruti de singe). Il déteste les ennuies (sauf si cela lui permet de casser du Yokai), les insectes, et ne plus avoir de clope.
Sanzô est aussi quelqu’un de courageux, qui n’abandonne jamais, avec une fierté très mal placé. Il ne parle jamais de lui, mais parfois sort des phrases telles que tout le monde se tait et écoute. Il lui arrive de se torturer intérieurement sans rien dire à personne, et finalement heureusement qu’il a trois zigotos pour l’accompagner parce qu’ils le connaissent sûrement mieux que personne et l’aident à leur manière.
*But de votre personnage : Récupérer le Sutra de Komyo, et aller vers l’ouest avec trois autres guignols (dont un singe, un kappa et un monsieur je sais tout).
*Peur principale de votre personnage : n’a pas spécialement de peur… Sauf peut-être la perte d’un singe, mais il ne l’admettra pas.
*Point fort & Point faible de votre personnage : Ses points forts : il manie l’arme à feu et le baffeur avec brio, réussis par miracle à supporter trois ahuris sans les tuer, se débrouille bien au majhong (et il gagne quand Hakkai n’y joue pas), bref il sait se battre, se défendre, et parfois on plaint un peu les Yokais.
Pour ses points faibles : fume trop (cancer proche), beaucoup trop impatient parfois, a un caractère vraiment pourri (mais ce n’est peut-être pas un point faible en fait).
Physique : Beau blond bien foutu, sans vouloir le vanter. Les yeux mauves, un regard froid et méchant, souvent des traits tirés, et parfois même à cause de son énervement les nerfs ressortent.
Il est plus petit qu’Hakkai et Gojyo, mesurant 1m77 (ce qui est déjà pas mal grand). Il n’est pas gros, et bien musclé (normal vu qu’il sait se battre quand même).
Il a des grandes mains avec de longs doigts qui appuient facilement sur la détente de son revolver, il a de la force dans les bras et l’utilise quand il met des coups de baffeur.
Particularités essentiels à détailler : Il est habillé en sanzô, se trimballe toujours avec son sutra, et a un point rouge sur le front appelé Chakra.
*] Votre vie a-t-elle été joyeuse ?Avant c’était un dieu, il s’appelait Konzen, puis un jour il a été tué. Maintenant c’est un humain orphelin.
Il a été recueilli tout bébé au bord d’une rivière par un sanzô du nom de Komyo.
Ce dernier a baptisé l’enfant Kôryu et l’a élevé comme son propre fils dans le temple Kinzan, entouré de moines vraiment abrutis, autant le dire.
Kôryu déjà petit avait mauvais caractère, mais était tout de même plus ouvert que maintenant, s’il s’est renfermé c’est parce qu’un jour des Yokai ont tué son maître et emporté le sutra du ciel pur. Kôryu se proclama alors Sanzô, et jura de venger Komyo et de récupérer le sutra.
Les années passèrent et alors qu’ils salissaient ses mains (je sous entends par là qu’il tuait, et non pas qu’il frottait ses mains dans la terre) sans retrouver ce qu’il cherchait, il entendait une voix l’appeler sans arrêt. C’est comme cela qu’il finit par tomber sur Gokû qui était enfermé et enchainé. Sanzô l’aurait bien butté pour qu’il arrête de l’appeler, mais le singe prit une telle tête d’abruti que le moine dépravé ne put le tuer. Il lui demanda :
- C’est toi qui n’arrête pas de m’appeler ?Ce sur quoi l’autre singe à tête d’idiot lui répondit :
- Hein ? Mais je ne t’ai jamais appelé.Sanzô, sans trop savoir pourquoi, plutôt que de le laisser là, décida de l’emmener avec lui (et même si parfois il se dit qu’il n’aurait pas du, il ne le regrette jamais vraiment).
Plus tard les dieux lui demandent de se diriger vers l’ouest (pas pour le fun, mais parce qu’apparemment c’est là qu’il pourra retrouver le sutra qu’il cherche, et il faut aussi arrêter la résurrection de Gyumao) accompagné d’Hakkai et Gojyo (ils s’étaient rencontrés avant bien sûr, mais c’est une autre histoire) et c’est ainsi que tous les quatre commencèrent leur voyage vers l’est.
Et maintenant il doit chercher une gamine... encore un guignol de plus quoi...
*] Les détails importants ou nonArmes : Un flingue, un baffeur et son sutra.
Relations avec les autres groupes : N’aime personne d’autres que lui-même, et son maître, mais comme celui-ci est six pieds sous terre et bouffe les radis par la racine…
Disons qu’il supporte juste Hakkai, Gokû et Gojyo (quoi que pour les deux derniers c’est avec grandes difficultés).
Phrase préférée qu'il/elle utilise tout le temps : « crève » et « je vais te butter »
*] Et vous, qui êtes vous ?
© Gokû |
Pseudo : Maliae
Comment avez vous connu le forum ? : tsss tsss, c'est parce que je suis le papa de Gokû et Gojyo
Suggestions ? : me couronner maître et dieu ? … Non ? ah bon
Citation favorite de Saiyuki (ou pas) : je vais te butter
Codes :Okey, by Gojyo
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Mer 21 Juil - 0:23
